Monday, August 16, 2010

Summary of page 281

• Même si le sens de cet être-en-dette (Schuldigseins) se laissait saisir, son concept existential n’en demeurerait pas moins obscur.
• L’idée de dette doit être puisée dans une interprétation de l’être du Dasein.
Qui dit comment nous sommes en dette et ce que dette signifie ?
• Toutes les recherches ontologiques sur des phénomènes comme la dette, la conscience, la mort doivent prendre leur point de départ dans ce qu’en dit l’explicitation quotidienne du Dasein.
• Le mode d’être échéant du Dasein implique que son interprétation est orientée inauthentiquement.
• Néanmoins, dans toute erreur de vision se dévoile une indication en direction de l’idée originaire du phénomène.
• Ce en-dette surgit comme prédicat du je suis.
• Est-ce que ce qui est compris comme dette dans une interprétation inauthentique se trouve dans l’être du Dasein de telle manière que celui-ci, pour autant qu’il existe facticement, soit déjà en dette ?

• Il faut conceptualiser le contenu de l’appel pour que puisse être compris ce que veut dire ce en-dette qui est crié.

• L’entente (Verständigkeit) quotidienne prend l’être-en-dette (Schuldigsein) au sens d’être débiteur (schulden) : on doit restituer à l’autre quelque chose auquel il prétend.
• Cet être-en-dette au sens d’avoir des dettes est une guise de l’être-avec autrui dans le domaine de la préoccupation.

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