Friday, August 27, 2010

Summary of page 287

• L’étrang(èr)eté transporte le Dasein devant sa nullité.
• Dans la mesure où il y va pour le Dasein comme souci de son être, il se convoque depuis l’on factice-écheant à son pouvoir-être depuis l’étrang(èr)eté.
• L’appel pro-voque à la possibilité d’assumer en existant l’être-jeté comme fondement nul (nichtigen Grund).
• Le rappel pro-vocant (vorrufende Rückruf) de la conscience (Gewissen) donne au Dasein à comprendre qu’il doit, à titre de fondement nul de son projet nul, se ramener de la perte (Verlorenheit) dans le On vers lui-même, i.e. qu’il est en-dette.

• L’endettement résultant d’une action est un concept dérivé différent de l’être-en-dette au sens existential.
• L’appel de la conscience, provenant du Dasein, se dirige uniquement à cet étant.
• Le con-voquer (Aufrufen) à l’être-en-dette signifie un pro-voquer (Vorrufen) au pouvoir-être que je suis à chaque fois déjà.
• Au lieu de se charger d’une « dette » à cause de manquements (Verfehlungen), le Dasein doit être authentiquement l’en-dette comme lequel il est.

• L’entendre correct de l’appel équivaut au se-projeter (Sichentwerfen) vers le pouvoir-devenir-en-dette (Schuldigwerdenkönnen) authentique.
• Le se-laisser-pro-voquer (Sichvorrufenlassen) à cette possibilité inclut en soi le devenir-libre (Freiwerden) pour l’appel : la disposition (Bereitschaft) au pouvoir-être-ad-voqué (Angerufenwerdenkönnen).
• Le Dasein, comprenant l’appel, est obédient (hörig) à sa possibilité la plus propre d’existence.
• Il s’est lui-même choisi (gewählt).

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