.l’appelant est non familier au On-même quotidien – une voix étrangère.
.On perdu dans la diversité du « monde » de sa préoccupation
≠ soi-même isolé sur soi dans l’étrang(èr)eté, jeté dans le rien.
.l’appel parle sur le mode étrange du faire-silence.
.l’appel rappelle l’ad-voqué du bavardage public du On à la réticence du pouvoir-être existant.
.l’assurance étrang(èr)e avec laquelle l’appelant atteint l’ad-voqué, l’impossibilité de se mé-comprendre et méconnaître se fonde sur le fait que le Dasein isolé sur soi en son étrang(èr)eté est unique, sur la solitude de son abandon à lui-même.
.l’étrang(èr)eté est le mode fondamental de l’être-au-monde.
.l’étrang(èr)eté est quotidiennement recouverte.
.l’appel angoissé rend possible pour le Dasein le projet de lui-même vers son pouvoir-être le plus propre.
.l’étrang(èr)eté traque le Dasein et menace sa perte oublieuse d’elle-même.
.la conscience se manisfeste comme appel du souci :
.l’appelant est le Dasein s’angoissant dans l’être-jeté (être-déjà-dans…) pour son pouvoir-être.
.l’ad-voqué est ce même Dasein, con-voqué à son pouvoir-être le plus propre (en-avant-de-soi).
Thursday, July 29, 2010
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