Friday, July 23, 2010

Summary of page 274

• Ce que l’appel ouvre est univoque, même si le Dasein peut l’interpréter diversement.
• Par-delà l’indétermination apparente de la teneur de l’appel (Rufgehaltes), il est impossible de méconnaître sa sûre direction d’impact (Einschlagsrichtung).
• S’il se produit dans la conscience des illusions (Täuschungen), c’est que l’appel est entraîné par le On dans la transaction d’un colloque avec soi et perverti en sa tendance ouvrante (Erschlieβungstendenz).

• L’appel (Ruf) est ad-vocation (Anruf) du On en son soi-même, une con-vocation (Aufruf) du soi-même à son pouvoir-être-soi-même, et une pro-vocation (Vorrufen) du Dasein vers ses possibilités.

• Une interprétation satisfaisante de la conscience exige de manifester non seulement qui est appelé, mais encore qui appelle et comment l’advoqué (Angerufene) se comporte par rapport à l’appelant (Rufer).

§ 57. La conscience comme appel du souci.

• La conscience con-voque (ruft) le soi-même du Dasein hors de la perte dans le On.
• Comme quoi le Dasein se comprend dans son interprétation à partir de ce dont il se préoccupe, cela, l’appel le passe.
• L’appelant (Rufer) se tient aussi dans une indétermination.
• Bien qu’il ne se déguise pas dans l’appel, il refuse toute question concernant le nom, l’état, la provenance et le prestige.
• L’appelant de l’appel tient éloignée de lui toute familiarité.
• Il est contraire à la modalité de son être de se laisser attirer dans le champ d’une considération et d’une discussion.

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