Saturday, July 31, 2010

Résumé p.279

.une interprétation de la conscience comme appel du souci qui s’éloigne à ce point de l’expérience naturelle peut-elle être probante ?
.la conscience parle-t-elle avec une indétermination vide d’un pouvoir-être authentique (conscience con-vocatrice) ?
.ou parle-t-elle plutôt de façon précise et concrète des fautes et omissions que nous avons commises ou allons commettre (conscience qui réprimande et avertit) ?
.la conscience livre-t-elle qqchose de positif, ou ne fonctionne-t-elle pas plutôt de manière simplement critique ?
.il est permis d’exiger d’une interprétation de la conscience que l’ « on » y reconnaisse le phénomène en question, tel que quotidiennement expérimenté.
.satisfaire à cette requête n’implique cependant pas de reconnaître la compréhension ontique vulgaire de la conscience pour l’instance première d’une interprétation ontologique.

.notre tâche : rendre intelligible la conscience comme une attestation, située dans le Dasein lui-même, de son pouvoir-être le plus propre.

.délimiter l’entendre qui correspond à l’appeler.
.le comprendre authentique qui « suit » l’appel n’est pas un supplément annexe qui se déclencherait ou non.
.c’est à partir de la compréhension de l’ad-vocation et uniment avec elle que le vécu plein de la conscience peut se laisser saisir.

.si c'est le Dasein qui est lui-même tout à la fois l'appelant et l'ad-voqué, il y a dans toute més-entente de l’appel, dans toute mécompréhension de soi un mode d’être déterminé du Dasein.
.« que rien ne résulte » de l’appel signifie, à la mesure du Dasein, qqchose de positif.

.la « voix » de la conscience parle d’une « dette »

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