Friday, July 16, 2010

Summary of page 271

• En se perdant dans la publicité du On et son bavardage, il més-entend (überhört) son soi-même propre.
• Afin d’être ramené hors de cette perte de la més-entente de soi, il faut qu’il se trouve lui-même en brisant cette écoute du On.
• La possibilité d’une telle rupture se trouve dans l’être-ad-voqué (Angerufenwerden) immédiat.
• L’appel brise l’écoute du On lorsque il éveille un entendre opposé à l’entendre perdu.
• Si celui-ci est pris par le vacarme (Lärm) équivoque du bavardage, il faut que l’appel appelle sans vacarme, sans équivoque, sans point d’appui (Anhalt) pour la curiosité.
Ce qui donne à comprendre en appelant ainsi, c’est la conscience (Gewissen).

• L’appeler est un mode du parler, lequel articule la compréhensivité.
• L’ébruitement vocal n’est essentiel ni au parler ni à l’appel.
• Toute parole (Aussprechen) et toute « proclame » (Ausrufen) présuppose le parler.
• L’explicitation quotidienne interprète la « voix » de la conscience comme un donner-à-comprendre (Zu-verstehen-geben).
• Dans la tendance d’ouverture de l’appel est contenu le moment de la secousse venue de loin (abgesetzten Aufrüttelns).
• L’appel retentit (gerufen) depuis le lointain (Ferne) vers le lointain.
• Est touché par l’appel celui qui veut être ramené.

• Avec cette caractérisation de la conscience, c’est l’horizon phénoménal de l’analyse de sa structure existentiale qui se trouve délimité.
• Le phénomène n’est pas compris comme un appel, mais comme parler à partir de l’ouverture constitutive du Dasein.
• La méditation évite de reconduire la conscience aux pouvoirs de l’âme (Seelenvermögen) — entendement, volonté, sentiment —.

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