Wednesday, July 28, 2010

Summary of page 276

• Seule la constitution existentiale du Dasein offre son fil conducteur à l’interprétation du mode d’être du cela qui appelle.

• Que l’appel ne soit pas accompli par moi, mais que « ça » appelle, cela n’autorise pas à chercher l’appelant dans un étant qui ne serait pas à la mesure du Dasein.
• Le Dasein existe toujours facticement.
• Pour autant qu’il est constamment remis à l’existence, il n’est pas un se-projeter flottant en l’air (freischwebendes Sichentwefen).
• La facticité du Dasein se distingue de la factualité d’un sous-la-main.
• Le Dasein existant ne vient pas à la rencontre de lui-même comme d’un sous-la-main intramondain.
• Le Dasein est jeté dans l’existence.
• Il existe comme un étant qui a à être comment il est et peut être.

• L’être-jeté appartient à l’ouverture du et se dévoile dans son affection, laquelle transporte le Dasein devant son « qu’il est et qu’il a à être en pouvant-être ».
• Le plus souvent, la tonalité referme l’être-jeté.
• Le Dasein fuit devant celui-ci dans la facilité de la prétendue liberté du On, en fuyant ainsi devant l’étrang(èr)eté (Unheimlichkeit) qui détermine l’être-au-monde en son isolement.
• L’étrang(èr)eté se dévoile proprement dans l’angoisse. Elle place son être-au-monde devant le rien du monde.
• Qu’en serait-il, si le Dasein tel qu’il se trouve affecté au fond de son étrang(èr)eté était l’appelant de l’appel ?

• Plaident en ce sens tous les phénomènes qui ont été dégagés pour caractériser l’appelant et son appeler.

• L’appelant n’est mondainement déterminable par rien en son qui.
• Il est le Dasein en son étrang(èr)eté (Unheimlichkeit), il est l’être-au-monde jeté en tant qu’hors-de-chez-lui (Un-zuhause), il est le que nu dans le rien du monde.

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