Friday, July 2, 2010

Summary of page 265

• L’être-certain au sujet de la mort n’a pas ce caractère, car qu’il n’appartient pas à l’ordre hiérarchique des évidences au sujet du sous-la-main.

• Le tenir-pour-vrai de la mort est plus originaire que toute certitude concernant un étant rencontré à l’intérieur du monde, car il est certain de l’être-au-monde et il sollicite le Dasein dans la pleine authenticité de son existence.
• C’est dans le devancement que le Dasein s’assure de son être le plus propre dans sa totalité indépassable.
• L’évidence d’une donation immédiate des vécus, du moi et de la conscience reste en deçà de la certitude comprise dans le devancement.
• Le mode concerné de saisie (Erfassungsart) ne peut pas tenir pour vrai (ouvert) ce qu’il veut avoir-là (da-haben) en tant que vrai : le Dasein que je suis moi-même et que je ne puis être authentiquement qu’en devançant.

• La possibilité de la mort est indéterminée en sa certitude.
• Dans le devancement vers la mort indéterminément certaine, le Dasein s’ouvre à une menace (Bedrohung) constante jaillissant de son là, et dans laquelle il doit se tenir.
• Tout comprendre est affecté.
• La tonalité transporte le Dasein devant l’être-jeté de son « qu’il-est-là » (daβ-es-da-ist).
L’affection qui est en mesure de tenir ouverte la menace constante qui monte de l’être isolé du Dasein, c’est l’angoisse.

No comments:

Post a Comment