Monday, July 26, 2010

Summary of page 275

• L’appelant ne surgit que dans le con-voquer à (Aufrufen zu).... Il ne veut être entendu, sans supplément de bavardage, que comme tel.
• N’est-il pas conforme au phénomène de ne pas demander qui est l’appelant ?
• Certes, en ce qui concerne l’entendre existentiel de l’appel factice de la conscience, mais non pas pour l’analyse existentiale de la facticité de l’appeler et de l’existentialité de l’entendre.

• Dans la conscience, le Dasein s’appelle lui-même.
• Pourtant, la réponse qui dit que le Dasein est tant l’appelant que l’ad-voqué ne suffit pas.

• L’appel n’est ni projeté, ni préparé, ni accompli volontairement par nous-mêmes.
• « Cela » (Es) appelle contre notre gré.
• L’appel ne vient pas d’un autre qui est au monde avec moi.
• L’appel vient de moi et pourtant il me dépasse.

• Tant la thèse selon laquelle il serait possible d’interpréter la voix de la conscience comme une puissance étrangère qui pénétrerait le Dasein que la tentative de la réduire à l’aide d’une explication « biologique » dépendent de la thèse ontologiquement dogmatique selon laquelle que ce qui est, i.e. ce qui est aussi factuel que l’appel, doit être sous-la-main, c’est-à-dire que ce qui ne se laisse pas exhiber en tant qu’objectif au sens de sous-la-main n’est pas.

• La donnée phénoménale consiste en ceci que l’appel est adressé à moi depuis moi-même en me dépassant.

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