Wednesday, June 16, 2010

Résumé p.253

.on meurt
.la publicité du l’être-l’un-avec-l’autre quotidien « connait » la mort comme un évènement survenant à l’intérieur du monde.
.on finit toujours par mourir mais de prime-abord le On-même demeure hors d’atteinte.
.la mort est un qqchose d’indéterminé, qui n’est pas encore sous-la-main pour nous, donc pas menaçant.
. « on meurt » : ce On est le Personne.

.équivoque
.le mourir, qui est essentiellement et ir-représentablement mien, est perverti en un évènement publiquement survenant, qui fait encontre au On.
.le discours donne la mort comme toujours déjà effective.
.il en voile le caractère de possibilité, et avec lui, les moments essentiels de l’absoluité et de l’indépassabilité.
.avec cette équivoque, le Dasein se met en position de se perdre dans le On du point de vue d’un pouvoir-être insigne, propre au Soi-même le plus propre.

.rassurement sur la mort
.l’esquive recouvrante de la mort gouverne si tenacement la quotidienneté que, dans l’être-l’un-avec-l’autre, les « proches » suggèrent encore souvent justement au « mourant » qu’il échappera à la mort et, par suite, qu’il retournera vers la quotidienneté rassurée du monde de la préoccupation.
.sollicitude des proches qui veulent ramener le mourant au Dasein en l’aidant à voiler encore totalement sa possibilité la plus propre, absolue, d’être.
.la publicité se préserve du mourir des autres – désagrément social, manque de tact…



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