Friday, June 25, 2010

Summary of page 259

• La mort est, en tant que fin du Dasein, dans l’être de cet étant pour sa fin.

• Que même le Dasein quotidien soit pour sa fin montre que cette fin n’est pas quelque chose où le Dasein arriverait lors de son décès.
• Dans le Dasein l’extrême ne-pas-encore est toujours déjà engagé.
• L’inférence qui conclurait de son ne-pas-encore à sa non-totalité est illégitime.
• Le phénomène du ne-pas-encore pensé à partir du en-avant-de-soi n’est pas une instance contre un être-tout possible.
• Le souci doit être pensé en connexion avec la mort comme possibilité extrême.

• L’être pour la mort se fonde dans le souci.
• En tant qu’être-au-monde jeté, le Dasein est toujours remis à sa mort.
• Étant pour sa mort, il meurt facticement et constamment aussi longtemps qu’il n’est pas venu à son décès.
• Le Dasein s’est toujours déjà, en son être pour la mort, décidé de telle ou telle manière.
• Le recul quotidien devant elle est un être inauthentique pour la mort.
• L’inauthenticité a une possible authenticité à son fondement.
• Parce que le Dasein existe, il se détermine à chaque fois à partir d’une possibilité qu’il est.

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