Thursday, June 17, 2010

Summary of page 251

• La possibilité de la mort se fonde dans le fait que le Dasein est ouvert (erschlossen) à lui-même selon la guise du en-avant-de-soi.
• Ce moment du souci a dans l’être pour la mort sa concrétion la plus originaire.

• Le Dasein ne se procure pas cette possibilité occasionnellement au cours de son être.
• Si le Dasein existe, il est déjà jeté (geworfen) dans cette possibilité.
• La mort appartienne à l’être-au-monde.
• L’être-jeté dans la mort se dévoile à lui dans l’angoisse.
• L’angoisse de la mort est angoisse devant le pouvoir-être le plus propre, absolu et indépassable.
• Le devant-quoi (Wovor) de cette angoisse est l’être-au-monde. Son pour-quoi (Worum) est le pouvoir-être du Dasein.
• L’angoisse de la mort n’est pas une peur de décéder, mais l’ouverture révélant que le Dasein existe comme être jeté pour sa fin.
• Le mourir est l’être jeté pour le pouvoir-être le plus propre, absolu et indépassable.

• L’être pour la fin ne naît pas d’une disposition temporaire, mais il appartient à l’être-jeté du Dasein.
• Le savoir ou l’ignorance du Dasein au sujet de son être pour la fin est l’expression de la possibilité de se tenir selon diverses modalités dans cet être.
• Que beaucoup d’hommes n’aient le plus souvent pas de savoir de la mort montre que le Dasein se recouvre, en fuyant devant lui, l’être le plus propre pour la mort.
• Le Dasein meurt aussi longtemps qu’il existe, mais le plus souvent selon la guise de l’échéance.

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