Thursday, June 24, 2010

Summary of page 258

• Cet « autrement » se voile aux yeux de la quotidienneté.
• Avec la supériorité apparemment sans angoisse vis-à-vis de la mort, la quotidienneté concède une certitude « plus haute » que la certitude empirique.
• La quotidienneté échéante du Dasein connaît la certitude de la mort et esquive néanmoins l’être-certain.
• Cette esquive atteste que la mort doit être conçue comme la possibilité la plus propre, absolue, indépassable, certaine.

• On dit : la mort vient certainement, mais pas encore. Avec ce « mais », le On dénie à la mort la certitude.
• La quotidienneté se presse vers la préoccupation et se détourne de la pensée oisive de la mort, laquelle est renvoyée à un jour à venir.
• Le On recouvre ainsi cette spécificité de la certitude de la mort : être possible à tout instant.
• Avec la certitude de la mort se concilie l’indétermination de son quand.
• La préoccupation quotidienne se détermine l’indéterminité de la mort de telle manière qu’elle interpose devant elle les possibilités contrôlables du quotidien.

• Le caractère de possibilité le plus propre de la mort est qu’elle est certaine et en même temps indéterminée, c’est-à-dire possible à tout instant.

La mort comme fin du Dasein est la possibilité la plus propre, absolue, certaine et comme telle indéterminée, indépassable du Dasein.

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