Tuesday, June 8, 2010

Summary of page 240

• Cette possibilité de représentation échoue lorsqu’il s’agit de représenter la venue-à-la-fin du Dasein : nul ne peut prendre son mourir à autrui.
• L’« aller à la mort pour un autre » ne signifie pas que sa mort serait ôtée à l’autre.
• Tout Dasein doit prendre sur soi son mourir : la mort est toujours mienne.
• La mort est constituée par la mienneté et l’existence.
• Le mourir n’est pas une donnée (Begebenheit), mais un phénomène existential (existenzial).

• Si le finir (Enden) en tant que mourir constitue la totalité du Dasein, alors il faut que l’être de la totalité soit conçu comme un phénomène existential.
• Dans le finir et l’être-tout concomitant, il n’y a pas de représentation.

• La mort est un phénomène existential.

• La sortie-du-monde (Aus-der-Welt-gehen) du Dasein au sens du mourir doit être distinguée d’une sortie-du-monde du seulement vivant (Nur-lebenden).
• Ce finir propre à un vivant, nous le désignons par le terme périr (Verenden).

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