Thursday, June 17, 2010

Summary of page 254

• En même temps qu’il procure ce rassurement propre à repousser le Dasein loin de sa mort, le On régule la manière dont on doit se comporter par rapport à la mort.
• La pensée de la mort vaut comme un manque d’assurance du Dasein, une fuite du monde.
• Le On interdit au courage de l’angoisse de la mort de se faire jour.
• L’être-explicité du On a déjà décidé de l’affection vis-à-vis de la mort.
• Le On inverse l’angoisse de la mort, dans laquelle le Dasein est transporté devant lui-même en tant que remis à la possibilité indépassable, en une peur d’un événement qui arrive.
• L’angoisse passera pour une faiblesse qu’un Dasein sûr de lui-même ne saurait connaître.
• Ce qui sied, c’est le calme indifférent face au fait que l’on meurt.
• Une telle indifférence aliène le Dasein de son pouvoir-être le plus propre.

• La tentation, le rassurement et l’aliénation caractérisent le mode d’être de l’échéance.
• L’être quotidien pour la mort, en tant qu’échéant, est une fuite devant elle.
• Le Dasein s’occulte le fait qu’il meure toujours en transformant la mort en « cas » survenant chez les autres.
• Le On même est déterminé comme être pour la mort.
• Pour le Dasein, il y va, même dans la quotidienneté médiocre, de ce pouvoir-être le plus propre, absolu et indépassable, serait-ce même selon le mode de la préoccupation pour une indifférence à l’égard de la possibilité extrême de son existence.

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