Thursday, June 17, 2010

Summary of page 252

• Car l’exister n’est pas seulement un pouvoir-être-au-monde jeté, mais il s’est toujours déjà identifié au monde de sa préoccupation.
• Dans cet être-auprès... échéant s’annonce la fuite hors de l’étrang(èr)eté (Unheimlichkeit), i.e. maintenant devant l’être pour la mort.
• Existence, facticité, échéance caractérisent l’être pour la fin et sont constitutives du concept de la mort.
• Le mourir se fonde dans le souci.

• Si l’être pour la mort appartient à l’être du Dasein, alors il doit, bien que inauthentiquement, être mis en lumière dans la quotidienneté.
• Le souci est le titre ontologique de la totalité du tout structurel du Dasein.
• C’est dans la concrétion la plus immédiate du Dasein (dans sa quotidienneté) que cette connexion entre être pour la mort et souci doit devenir visible.

§ 51. L’être pour la mort et la quotidienneté du Dasein.

• Dans l’être pour la mort, le Dasein se rapporte à lui-même comme à un pouvoir-être insigne.
• Le soi-même de la quotidienneté est le On, lequel se constitue dans l’être-interprété public qui s’exprime dans le bavardage.
• Celui-ci manifeste en quelle guise le Dasein quotidien s’explicite son être pour la mort.
• Le fondement de l’explicitation est toujours formé par un comprendre, lequel est toujours affecté ou intoné.

• La publicité de l’être-l’un-avec-l’autre quotidien connaît la mort comme un accident survenant constamment.

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